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Wiki1/ Pour la question du tile entier, bien sûr que tu peux ne sélectionner que la partie que tu souhaites représenter ; pour cela, il faut que tu décoches l'option "Snap to grid" dans la partie gauche de Terrascene.
2/ Tu sauvegardes ton projet.
3/ Il faut prendre large dans ArcExplorer. Pour plus de confort, ta zone doit être plus importante dans ArcExplorer que dans Terrascene afin qu'elle soit entièrement couverte (cf. tutoriel de Terrascene sur Fly.Simvol).
Pour le rendering, tout est expliqué dans le manuel de Terrascene. Même chose pour les roads, railroads, streams ... voir page 23 du manuel de Terrascene.
Une lecture attentive des manuels et des divers tutoriels s'impose avant d'entreprendre la création de scènes.
Questions - Réponses diverses sur Terrascéne .......
Modérateur : Bureau
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BOB_J
- Messages : 271
- Enregistré le : dimanche 28 juil. 2002 - 12:12
- Localisation : Toulouzette, 40, Landes
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lecture pour la veillée
Pour Dame Christiane, j'ai relevé deux ou trois questions ici et là, donc je fais un paquet...
Dans Terrascene, on peut "mapper" sur n'importe quel attribut qui permette de distinguer l'objet, ces attributs pouvant varier en fonction de... ce que le créateur a bien voulu y mettre.
Concrètement, avec Rrline, par exemple : multiple track railroad, single track, voie de garage, de chemin de fer, truc sur lequel on peut faire rouler les locos, etc... seraient tous reproduits en temps que railroads avec la texture affectée qu'on lui aura fait correspondre. Dans ce cas précis, comme le pixel fait 7,5m, il ne faut pas se faire trop de noeud au cerveau!
Conventionnellement, les routes sont classées par ordre décroissant en importance, comme la description est vague, une carte routière pourra donner plus de renseignement, ce qui nous intéresse au fond, c'est la largeur de piste et sa couleur...
En fait, c'est une matrice, un tableau d'équivalence à trois colonnes : l'attribut choisi sera mappé à un nom de référence Terrascene auquel sera affectée une texture et la seule chose qui restera sera... la texture, attribut et nom sont des valeurs relatives, communes à tout ce qui doit porter la même parure.
Le visuel, avant que j'oublie : au dessous de 3000', MSFS, résolution, gestion des objets 3D, au-dessus, FLY. C'est un avis personnel...
La diffusion dans l'atmosphère créé obligatoirement un effet de voile même par temps clair, de ce point de vue, FLY! donne une vision un peu plus optimiste en altitude que MSFS, mais rien qui ne soit à proprement parler irréaliste dans les deux cas.
Le "fondu" des textures de différentes résolutions pénalise un peu MSFS en altitude, encore faut-il relativiser car cela dépend des options graphiques choisies, MSFS est en effet pourvu d'un mécanisme de préservation des ressources qui peut avoir des effets pervers, surtout pour ceux qui veulent... tout.
Le tronc commun...
Visuel, "modèles" de vol, fonctionnalités, etc... tout est lié par un seul ciment : les ressources disponibles, soit la "puissance" du système, qui font que même FLY! le premier soit un programme encore très prisé bien des années après sa sortie et que FLY!II ne commence seulement réellement à vivre qu'avec nos machines actuelles. Pour donner du tonus à FLY!, rien de mieux qu'un processeur central puissant car nombre d'opérations lui incombent.
Paname en couleurs...
GlobeXplorer avait en démonstration dans leur "viewer" (pardon pour le terme Anglois) une vue de Paname couleur au petits oignons, avec une Seine bien "olive drab", elle est certes maintenant littéralement persemée de logos jusqu'à la rendre ridicule pour la démonstration (un tantinet radins, ces Messieurs), mais cela peut aider les Artistes... Hemm.... Pour l'inspiration, bien sûr. Je peux retrouver le lien si besoin est.
Parlons enfin chiffons... ArcExplorer et les données DCW, si c'est de celles-ci qu'il s'agit.
La Data Chart of the World est dérivée des cartes de navigation opérationnelles (O.N.C.) au 1:1.000.000, de vieilles copines papiers très encombrantes. Il en existe une version Mil, censée être plus récente et diffusée librement par la NIMA, pardon, NGA. Disons tout net que c'est très basique, c'est le moins qu'on puisse dire et que cela n'a pas grand chose à voir avec les produits USGS qui donnent de si belles choses pour les USA.
Il est possible de télécharger l'intégralité des données concernant par exemple un pays, étant donné le peu qu'il y a par chez nous!
Première solution : utiliser ces shapefiles comme brouillon, redessiner l'existant (sinon, gare aux zig-zags) et rajouter tout le reste à la main, à l'aide d'un programme capable d'éditer ces données vectorielles (il en existe maintenant en freeware) ou utiliser l'utilitaire Terrashape de l'excellentissime Sir Colin et un programme CAD capable de digérer le format .dxf, bien connu des utilisateurs d'Autocad, du genre Turbocad Lite (freeware).
L'intérêt du tandem Terrashape (.shp vers .dxf et .dxf retour .shp) Turbocad (ou autre...) est de pouvoir extraire et importer les données de FLY!, genre pistes, pour avoir des points de repère fiables (et pour éviter que les routes traversent ces dernières).
Seconde solution : avoir les fichiers de l'IGN. Il y a tout et en très précis, mais c'est tout simplement ruineux et il faudrait un sacré bon dieu de contrat pour que tous les copains puissent en profiter.
Third one : voir ci-dessous.
Il était une fois...
Hormis la couverture générique très... générique, puisque FLY! utilise des textures plus larges que celles de MSFS, certe agréable à l'oeil par l'aspect moins répétitif mais moins précise quand au rendu des zones, l'outil-miracle, Terrascene, comme chacun ET CHACUNE savent, peut transformer certaines données vectorielles "normalisées" en terrain crédible, l'idée du concepteur étant que chacun puisse reproduire son plancher des ruminants à partir de quelque chose de portable.
C'était donc à ces données, constituant des "projets" Terrascene qu'il fallait d'abord s'intéresser plus qu'à une oeuvre finie, lourde en pod, c'est l'inverse qui s'est produit et c'est ce qui a failli causer la mort de FLY!II.
Sous FLY!, la tuile de sol standard faisait 70Mo une fois zippée, ce qui était encore raisonnable, mais sous FLY!II, c'est au plus bas mot, au moins, au plus économique, dans les 250Mo que nous récupérons, une paille! Et il en faut plus d'une soixantaine rien que pour notre patrie bien aimée. Cent fois hélas, ces données vectorielles permettant de faire ces projets Terrascene, exportables puisque de taille plus raisonnable, ne sont pas gratuites en France et il faut improviser (voir plus haut).
Cherchez le PPCD, comme à l'école...
Utiliser directement les polylignes (le vectoriel) des routes pour créer les polygones à texturer du sol, ceci pour la base du territoire, semble plus raisonnable que de partir sur une couverture complètement réalisée à partir de CORINE, la base de données européenne LULC (Land Classes à gogo), transformée en polygones (c'est fait, mais c'est encore monumental), quitte à compléter avec des extraits de CORINE.
Qu'un quelconque Route500 de l'IGN en shapefiles, même périmé, soit disponible et la France pourrait être reproduite en deux coups de cuillère à pot par n'importe quel pékin, même peu doué. Comme nous aimons ce banc d'essai qu'est FLY!, c'est que nous entrons déjà dans la catégorie des affranchis plutôt pas trop caves (merci... - de rien, c'est gratuit et non-imposable) et qui plus est, tenaces.
Pour l'instant la transformation d'un atlas routier "numérique" en vectoriel avec le logiciel Wintopo est dans le domaine du concret, du faisable avec de la patience. Bien sûr, il faudra consciencieusement remplir les cases attributs des shp, pour dire à Terrascene : cette route est une départementale et ce bout de terrain est à peindre en vert avec des petites fleurs blanches; c'est fastidieux, mais simple, donc tout de même mieux qu'un traitement d'une mosaïque d'orthophotos écornées.
En fait, s'il n'est guère difficile d'obtenir un visuel de qualité à partir d'orthophotographies correctes, mêmes extrapolées à partir d'une source Spot panchromatique à 10m/pixel, le chantier est immense et les corrections plutôt malaisées, hormis pour ceux ayant un sens artistique très développé et du temps à y consacrer. Je pense avoir été jusqu'au bout de ce que l'on peut espérer dans cette voie (traitement S-Spline, suréchantillonnage avec diverses extrapolations, fusion, etc...). Ces photos "calibrées" peuvent néanmoins servir de templates pour la rectification du vectoriel.
Tiens, une cartouche de plus pour l'ortho, je ne sais plus si le lien a déjà été proposé, mais bon...
http://www.scanex.ru/software/scanmagic/default.htm
L'exemple de ce qui peut être fait est connu depuis des lustres : la Bretagne vers St-Malo de Maître (j'insiste!) T.J., dont une version pour FLY! l'ancien a fait le bonheur des premiers pionniers. D'une altitude "normale", la vue est -beaucoup- plus que satisfaisante diurne-nocturne. Pendant que j'y suis, le passage dans une couche nuageuse "broken" de Sir Jure Dolanec est tout aussi mémorable, au point de ne plus vouloir la quitter, même s'il n'est ni très agréable ni recommandé de rester dans le coton -en vrai-.
En fait, avec l'impératif de gratuité des outils, c'est un vaste ping-pong entre progiciels, mais comme cela bouge du côté freeware en GIS, l'espoir grandit. J'ai déjà envoyé une fois par CD la collection de ce que j'ai récupéré, comme je ne suis point juriste ni expert dans le gigantesque f...... procédurier des copyright, plutôt non-droits-de-copie, partout et pour tout, j'ai peut-être de la chance de n'être point encore embastillé.
En résumé : un atlas routier, dont la couverture sera toujours meilleure que la DCW, Wintopo pour sortir les rdlines (la couche route, quoi), qui rentrent dans MapInfo demo (par exemple) pour ressortir en polygones pour le "Land Use Land Cover", par exemple.
En résumé, il y a des procédés que je crois utilisables, l'essentiel, je pense (donc je suis), est de passer par ces "projets" pour Terrascene, que tous pourront utiliser pour créer dans la plus stricte intimité les 20Go (et pourquoi pas plus) de Tuiles qu'on aurait bien du mal à télécharger.
A propos de : ma planche de bord ne me plaît pas, me paraît louche...
Il est naturellement possible de recoloriser l'intérieur de sa trapanelle, bien que les variantes proposées par TRI soient plausibles, en fait, l'intérieur d'un avion -surtout de tourisme- n'a rien de figé, instrumentation, teintes, surtout suivant l'année de production et les désirs du client, mode oblige! Le noir -souvent martelé- était très en vogue jusque vers les années 60-70, le beige fût la couleur fétiche pour les Beech 200 et faisait plus mode après le phénomène hippie, le vert sur les appareils soviétiques est -toujours- presque une institution.
Mais attention, à moins que je ne me trompe, les vues intérieures de FLY! n'utilisent qu'une palette de 256 couleurs, donc certaines teintes seront plus difficiles à obtenir que d'autres et à maintenir au travers des différents processus de transformations dans le logiciel de retouche d'image.
TRI a utilisé de la documentation fiable pour la réalisation de ces intérieurs et il est fort probable que l'aspect ait été le même sur le modèle ayant servi à la modélisation.
Tiens, il est temps de passer à l'horizontale!
hpecuagn ..._ ._
Dans Terrascene, on peut "mapper" sur n'importe quel attribut qui permette de distinguer l'objet, ces attributs pouvant varier en fonction de... ce que le créateur a bien voulu y mettre.
Concrètement, avec Rrline, par exemple : multiple track railroad, single track, voie de garage, de chemin de fer, truc sur lequel on peut faire rouler les locos, etc... seraient tous reproduits en temps que railroads avec la texture affectée qu'on lui aura fait correspondre. Dans ce cas précis, comme le pixel fait 7,5m, il ne faut pas se faire trop de noeud au cerveau!
Conventionnellement, les routes sont classées par ordre décroissant en importance, comme la description est vague, une carte routière pourra donner plus de renseignement, ce qui nous intéresse au fond, c'est la largeur de piste et sa couleur...
En fait, c'est une matrice, un tableau d'équivalence à trois colonnes : l'attribut choisi sera mappé à un nom de référence Terrascene auquel sera affectée une texture et la seule chose qui restera sera... la texture, attribut et nom sont des valeurs relatives, communes à tout ce qui doit porter la même parure.
Le visuel, avant que j'oublie : au dessous de 3000', MSFS, résolution, gestion des objets 3D, au-dessus, FLY. C'est un avis personnel...
La diffusion dans l'atmosphère créé obligatoirement un effet de voile même par temps clair, de ce point de vue, FLY! donne une vision un peu plus optimiste en altitude que MSFS, mais rien qui ne soit à proprement parler irréaliste dans les deux cas.
Le "fondu" des textures de différentes résolutions pénalise un peu MSFS en altitude, encore faut-il relativiser car cela dépend des options graphiques choisies, MSFS est en effet pourvu d'un mécanisme de préservation des ressources qui peut avoir des effets pervers, surtout pour ceux qui veulent... tout.
Le tronc commun...
Visuel, "modèles" de vol, fonctionnalités, etc... tout est lié par un seul ciment : les ressources disponibles, soit la "puissance" du système, qui font que même FLY! le premier soit un programme encore très prisé bien des années après sa sortie et que FLY!II ne commence seulement réellement à vivre qu'avec nos machines actuelles. Pour donner du tonus à FLY!, rien de mieux qu'un processeur central puissant car nombre d'opérations lui incombent.
Paname en couleurs...
GlobeXplorer avait en démonstration dans leur "viewer" (pardon pour le terme Anglois) une vue de Paname couleur au petits oignons, avec une Seine bien "olive drab", elle est certes maintenant littéralement persemée de logos jusqu'à la rendre ridicule pour la démonstration (un tantinet radins, ces Messieurs), mais cela peut aider les Artistes... Hemm.... Pour l'inspiration, bien sûr. Je peux retrouver le lien si besoin est.
Parlons enfin chiffons... ArcExplorer et les données DCW, si c'est de celles-ci qu'il s'agit.
La Data Chart of the World est dérivée des cartes de navigation opérationnelles (O.N.C.) au 1:1.000.000, de vieilles copines papiers très encombrantes. Il en existe une version Mil, censée être plus récente et diffusée librement par la NIMA, pardon, NGA. Disons tout net que c'est très basique, c'est le moins qu'on puisse dire et que cela n'a pas grand chose à voir avec les produits USGS qui donnent de si belles choses pour les USA.
Il est possible de télécharger l'intégralité des données concernant par exemple un pays, étant donné le peu qu'il y a par chez nous!
Première solution : utiliser ces shapefiles comme brouillon, redessiner l'existant (sinon, gare aux zig-zags) et rajouter tout le reste à la main, à l'aide d'un programme capable d'éditer ces données vectorielles (il en existe maintenant en freeware) ou utiliser l'utilitaire Terrashape de l'excellentissime Sir Colin et un programme CAD capable de digérer le format .dxf, bien connu des utilisateurs d'Autocad, du genre Turbocad Lite (freeware).
L'intérêt du tandem Terrashape (.shp vers .dxf et .dxf retour .shp) Turbocad (ou autre...) est de pouvoir extraire et importer les données de FLY!, genre pistes, pour avoir des points de repère fiables (et pour éviter que les routes traversent ces dernières).
Seconde solution : avoir les fichiers de l'IGN. Il y a tout et en très précis, mais c'est tout simplement ruineux et il faudrait un sacré bon dieu de contrat pour que tous les copains puissent en profiter.
Third one : voir ci-dessous.
Il était une fois...
Hormis la couverture générique très... générique, puisque FLY! utilise des textures plus larges que celles de MSFS, certe agréable à l'oeil par l'aspect moins répétitif mais moins précise quand au rendu des zones, l'outil-miracle, Terrascene, comme chacun ET CHACUNE savent, peut transformer certaines données vectorielles "normalisées" en terrain crédible, l'idée du concepteur étant que chacun puisse reproduire son plancher des ruminants à partir de quelque chose de portable.
C'était donc à ces données, constituant des "projets" Terrascene qu'il fallait d'abord s'intéresser plus qu'à une oeuvre finie, lourde en pod, c'est l'inverse qui s'est produit et c'est ce qui a failli causer la mort de FLY!II.
Sous FLY!, la tuile de sol standard faisait 70Mo une fois zippée, ce qui était encore raisonnable, mais sous FLY!II, c'est au plus bas mot, au moins, au plus économique, dans les 250Mo que nous récupérons, une paille! Et il en faut plus d'une soixantaine rien que pour notre patrie bien aimée. Cent fois hélas, ces données vectorielles permettant de faire ces projets Terrascene, exportables puisque de taille plus raisonnable, ne sont pas gratuites en France et il faut improviser (voir plus haut).
Cherchez le PPCD, comme à l'école...
Utiliser directement les polylignes (le vectoriel) des routes pour créer les polygones à texturer du sol, ceci pour la base du territoire, semble plus raisonnable que de partir sur une couverture complètement réalisée à partir de CORINE, la base de données européenne LULC (Land Classes à gogo), transformée en polygones (c'est fait, mais c'est encore monumental), quitte à compléter avec des extraits de CORINE.
Qu'un quelconque Route500 de l'IGN en shapefiles, même périmé, soit disponible et la France pourrait être reproduite en deux coups de cuillère à pot par n'importe quel pékin, même peu doué. Comme nous aimons ce banc d'essai qu'est FLY!, c'est que nous entrons déjà dans la catégorie des affranchis plutôt pas trop caves (merci... - de rien, c'est gratuit et non-imposable) et qui plus est, tenaces.
Pour l'instant la transformation d'un atlas routier "numérique" en vectoriel avec le logiciel Wintopo est dans le domaine du concret, du faisable avec de la patience. Bien sûr, il faudra consciencieusement remplir les cases attributs des shp, pour dire à Terrascene : cette route est une départementale et ce bout de terrain est à peindre en vert avec des petites fleurs blanches; c'est fastidieux, mais simple, donc tout de même mieux qu'un traitement d'une mosaïque d'orthophotos écornées.
En fait, s'il n'est guère difficile d'obtenir un visuel de qualité à partir d'orthophotographies correctes, mêmes extrapolées à partir d'une source Spot panchromatique à 10m/pixel, le chantier est immense et les corrections plutôt malaisées, hormis pour ceux ayant un sens artistique très développé et du temps à y consacrer. Je pense avoir été jusqu'au bout de ce que l'on peut espérer dans cette voie (traitement S-Spline, suréchantillonnage avec diverses extrapolations, fusion, etc...). Ces photos "calibrées" peuvent néanmoins servir de templates pour la rectification du vectoriel.
Tiens, une cartouche de plus pour l'ortho, je ne sais plus si le lien a déjà été proposé, mais bon...
http://www.scanex.ru/software/scanmagic/default.htm
L'exemple de ce qui peut être fait est connu depuis des lustres : la Bretagne vers St-Malo de Maître (j'insiste!) T.J., dont une version pour FLY! l'ancien a fait le bonheur des premiers pionniers. D'une altitude "normale", la vue est -beaucoup- plus que satisfaisante diurne-nocturne. Pendant que j'y suis, le passage dans une couche nuageuse "broken" de Sir Jure Dolanec est tout aussi mémorable, au point de ne plus vouloir la quitter, même s'il n'est ni très agréable ni recommandé de rester dans le coton -en vrai-.
En fait, avec l'impératif de gratuité des outils, c'est un vaste ping-pong entre progiciels, mais comme cela bouge du côté freeware en GIS, l'espoir grandit. J'ai déjà envoyé une fois par CD la collection de ce que j'ai récupéré, comme je ne suis point juriste ni expert dans le gigantesque f...... procédurier des copyright, plutôt non-droits-de-copie, partout et pour tout, j'ai peut-être de la chance de n'être point encore embastillé.
En résumé : un atlas routier, dont la couverture sera toujours meilleure que la DCW, Wintopo pour sortir les rdlines (la couche route, quoi), qui rentrent dans MapInfo demo (par exemple) pour ressortir en polygones pour le "Land Use Land Cover", par exemple.
En résumé, il y a des procédés que je crois utilisables, l'essentiel, je pense (donc je suis), est de passer par ces "projets" pour Terrascene, que tous pourront utiliser pour créer dans la plus stricte intimité les 20Go (et pourquoi pas plus) de Tuiles qu'on aurait bien du mal à télécharger.
A propos de : ma planche de bord ne me plaît pas, me paraît louche...
Il est naturellement possible de recoloriser l'intérieur de sa trapanelle, bien que les variantes proposées par TRI soient plausibles, en fait, l'intérieur d'un avion -surtout de tourisme- n'a rien de figé, instrumentation, teintes, surtout suivant l'année de production et les désirs du client, mode oblige! Le noir -souvent martelé- était très en vogue jusque vers les années 60-70, le beige fût la couleur fétiche pour les Beech 200 et faisait plus mode après le phénomène hippie, le vert sur les appareils soviétiques est -toujours- presque une institution.
Mais attention, à moins que je ne me trompe, les vues intérieures de FLY! n'utilisent qu'une palette de 256 couleurs, donc certaines teintes seront plus difficiles à obtenir que d'autres et à maintenir au travers des différents processus de transformations dans le logiciel de retouche d'image.
TRI a utilisé de la documentation fiable pour la réalisation de ces intérieurs et il est fort probable que l'aspect ait été le même sur le modèle ayant servi à la modélisation.
Tiens, il est temps de passer à l'horizontale!
hpecuagn ..._ ._
Bonjour Christiane,
Je crois que ces textures ne sont pas ou plus disponibles, hélas !
Je me trompe peut-être mais il me semble que c'est un pack qui a été créé par l'équipe How in the World, très active pour Fly! (1) avec notamment les add-ons Sky! et Ground Control. D'ailleurs, à en voir les captures d'écran, ces textures ressemblent plus à celles de Fly! (1) qu'à celles de Fly! II ...
A confirmer donc ...
Je crois que ces textures ne sont pas ou plus disponibles, hélas !
Je me trompe peut-être mais il me semble que c'est un pack qui a été créé par l'équipe How in the World, très active pour Fly! (1) avec notamment les add-ons Sky! et Ground Control. D'ailleurs, à en voir les captures d'écran, ces textures ressemblent plus à celles de Fly! (1) qu'à celles de Fly! II ...A confirmer donc ...
Bons vols,
Damien.
Damien.
Ma scène de Paris a été créée à partir d'une photo satellite. Je n'ai modifié aucune texture et j'ai utilisé Terrascene uniquement pour générer la scène.
Ne pas confondre les scènes créées à base de photos satellite et celles créées entièrement avec Terrascene ! Les dernières sont peut-être plus simples à mettre en oeuvre mais la précision (et la qualité de la scène !) ne sont pas vraiment au rendez-vous. Les scènes créées avec Terrascene (surtout pour l'Europe !) sont là pour représenter de façon un peu plus réaliste la région dans laquelle l'on souhaite voler, c'est tout.
Au fait, quelle région souhaiterais-tu représenter dans Fly! II ?
Ne pas confondre les scènes créées à base de photos satellite et celles créées entièrement avec Terrascene ! Les dernières sont peut-être plus simples à mettre en oeuvre mais la précision (et la qualité de la scène !) ne sont pas vraiment au rendez-vous. Les scènes créées avec Terrascene (surtout pour l'Europe !) sont là pour représenter de façon un peu plus réaliste la région dans laquelle l'on souhaite voler, c'est tout.
Au fait, quelle région souhaiterais-tu représenter dans Fly! II ?
Bons vols,
Damien.
Damien.
J'ai l'impression que tu as oublié d'importer tes textures Fly! II dans Terrascene ! 
Pour cela, il faut lancer Terrascene, puis aller dans le menu "Projet" puis "Integrate with Fly!", ensuite, clique sur "Next", trouve le chemin du Fly!Slicer (dans Fly! II), puis "Next" et enfin, "Finish". La dernière opération peut prendre une bonne dizaine de minutes. S'il ne se passe rien, c'est que tu as dû oublier une étape.
Pour ma part, j'ai une soixantaine de textures dans la base de Terrascene.
Bien lire les tutoriels est I-N-D-I-S-P-E-N-S-A-B-L-E !
Pour cela, il faut lancer Terrascene, puis aller dans le menu "Projet" puis "Integrate with Fly!", ensuite, clique sur "Next", trouve le chemin du Fly!Slicer (dans Fly! II), puis "Next" et enfin, "Finish". La dernière opération peut prendre une bonne dizaine de minutes. S'il ne se passe rien, c'est que tu as dû oublier une étape.
Pour ma part, j'ai une soixantaine de textures dans la base de Terrascene.
Bien lire les tutoriels est I-N-D-I-S-P-E-N-S-A-B-L-E !
Bons vols,
Damien.
Damien.
Il ne suffit pas d'indiquer le chemin ; il faut également sélectionner le fichier fly2slice.exe. Tu cliques dessus puis tu valides et normalement, Terrascene pourra importer les textures de Fly! II.
P.S. : Quelle est la taille de ton fichier "gentex.pod" situé dans le répertoire System de Fly! II ? C'est justement ce fichier que Terrascene utilise pour importer les textures.
P.S. : Quelle est la taille de ton fichier "gentex.pod" situé dans le répertoire System de Fly! II ? C'est justement ce fichier que Terrascene utilise pour importer les textures.
Bons vols,
Damien.
Damien.